Manager : substantif masculin
Source Cnrtl
Étymol. et Hist.
1. 1785 « organisateur, administrateur » désignant ici un maître de cérémonie (Chastellux, Voyage de Mr. le chevalier de Chastellux en Amérique, 64 ds Höfler Anglic.); 1961 en France, à la suite de management* « personne exerçant des fonctions de direction dans une entreprise » (Le Figaro, 12 oct. ds Gilb. Mots nouv.);
2. 1857 « administrateur, conseiller particulier attaché à une ou plusieurs vedettes du spectacle ou du sport » (O. Comettant, Trois ans aux États-Unis, 94 ds Höfler Anglic.); 1896 en France manager cycliste (Le Vélo, 7 oct. ds Petiot). Empr. à l'angl. manager « celui qui s'occupe de (quelque chose), qui conduit », dér. de to manage (v. manager2), att. dep. la fin du xvie s., plus spéc. dep. le début du xviiie s. comme terme désignant le responsable d'une entreprise ou d'une institution (cf. NED).
Étymol. et Hist.
1. 1785 « organisateur, administrateur » désignant ici un maître de cérémonie (Chastellux, Voyage de Mr. le chevalier de Chastellux en Amérique, 64 ds Höfler Anglic.); 1961 en France, à la suite de management* « personne exerçant des fonctions de direction dans une entreprise » (Le Figaro, 12 oct. ds Gilb. Mots nouv.);
2. 1857 « administrateur, conseiller particulier attaché à une ou plusieurs vedettes du spectacle ou du sport » (O. Comettant, Trois ans aux États-Unis, 94 ds Höfler Anglic.); 1896 en France manager cycliste (Le Vélo, 7 oct. ds Petiot). Empr. à l'angl. manager « celui qui s'occupe de (quelque chose), qui conduit », dér. de to manage (v. manager2), att. dep. la fin du xvie s., plus spéc. dep. le début du xviiie s. comme terme désignant le responsable d'une entreprise ou d'une institution (cf. NED).
Manager : verbe transitif
Source Cnrtl
Étymol. et Hist. 1880 hipp. ménagé « dirigé, entraîné » (Le Sport, 13 oct. ds Petiot); 1896 sports « s'occuper des intérêts, diriger la carrière sportive de » (Le Vélo 16/3, 1b ds Höfler Anglic.); 1969 « diriger, organiser » (Chr. Collange, Madame et le management ds Gilb. Mots nouv.). Empr. à l'angl. to manage « entraîner, conduire, s'occuper de, diriger » att., d'abord sous la forme manege, dep. le xvie s., et qui était à l'orig. un terme d'équit. au sens de « entraîner, dresser » et prob. empr. à l'ital. maneggiare (v. manège), cf. NED.
Étymol. et Hist. 1880 hipp. ménagé « dirigé, entraîné » (Le Sport, 13 oct. ds Petiot); 1896 sports « s'occuper des intérêts, diriger la carrière sportive de » (Le Vélo 16/3, 1b ds Höfler Anglic.); 1969 « diriger, organiser » (Chr. Collange, Madame et le management ds Gilb. Mots nouv.). Empr. à l'angl. to manage « entraîner, conduire, s'occuper de, diriger » att., d'abord sous la forme manege, dep. le xvie s., et qui était à l'orig. un terme d'équit. au sens de « entraîner, dresser » et prob. empr. à l'ital. maneggiare (v. manège), cf. NED.
Management : substantif masculin
Source Cnrtl
Étymol. et Hist. 1957 (Réalités 7/ 1957, 93b ds Höfler Anglic.). Empr., prob. d'apr. l'usage amér., à l'angl. management « action de conduire, de diriger, d'entraîner » dér. de to manage (v. manager2) att. dep. la fin du xvie s. et en partic. dep. la fin du xviiie s. comme terme désignant un ensemble de personnes chargées de l'administration, la gestion ou la direction d'une institution, d'un organisme ou d'une entreprise (cf. NED et P. Négrier, Organisation technique et commerciale des usines. Paris, Dunod, 1918, p. IV : Aux États-Unis (...) depuis nombre d'années l'organisation scientifique du travail − le scientific-management − , est enseignée dans toutes leurs écoles techniques); l'usage du terme « prononcé à la française » a été admis après avis de l'Académie fr. (Arrêté du 12 janv. 1973, Journal officiel, 18 janv. 1973).
Étymol. et Hist. 1957 (Réalités 7/ 1957, 93b ds Höfler Anglic.). Empr., prob. d'apr. l'usage amér., à l'angl. management « action de conduire, de diriger, d'entraîner » dér. de to manage (v. manager2) att. dep. la fin du xvie s. et en partic. dep. la fin du xviiie s. comme terme désignant un ensemble de personnes chargées de l'administration, la gestion ou la direction d'une institution, d'un organisme ou d'une entreprise (cf. NED et P. Négrier, Organisation technique et commerciale des usines. Paris, Dunod, 1918, p. IV : Aux États-Unis (...) depuis nombre d'années l'organisation scientifique du travail − le scientific-management − , est enseignée dans toutes leurs écoles techniques); l'usage du terme « prononcé à la française » a été admis après avis de l'Académie fr. (Arrêté du 12 janv. 1973, Journal officiel, 18 janv. 1973).
De l'intention stratégique à l'objectif individuel
« Le capital humain contribue aux résultats. Il doit comprendre l’importance de sa contribution».
Les différents objectifs individuels s’inscrivent dans une logique collective qui est celle du plan d’action de l'organisation (business unit, service, entreprise ...).
Comme nous l'avons vu précédemment, il existe plusieurs niveaux de management et donc de pilotage au sein d’une organisation. En haut de la pyramide, l’on trouve les dirigeants qui assurent le pilotage stratégique : Les dirigeants traduisent la politique générale définie par le conseil d’administration ou les actionnaires. Ils établissent la finalité et les orientations de l'organisme. A ce titre, il convient qu'ils créent et maintiennent un environnement interne dans lequel les personnes peuvent pleinement s'impliquer dans la réalisation des objectifs de l'organisme.
Dans cette démarche d’élaboration et de déploiement de type « top-down », le top-management (les dirigeants ou membres du CODIR) confie au « middle-management » la mission « de porter la stratégie » au plus près du terrain. Dans les grandes entreprises, le « middle-management » se caractérise par une double notion de « distance » : il est proche du terrain, des opérationnels et il est éloigné du top management, des stratéges. Ces deux strates de management ont rarement l'opportunité de se rencontrer. Entre ces deux "extrêmes" de management, il existe des "managers de managers" qui sont supposés jouer un rôle de "cascading" entre le sommet et la base.
C’est aux managers de proximité qu’il revient de fixer les objectifs individuels. L’objectif individuel est la part contributive attendue par l’entreprise. L’objectif individuel est une déclinaison des objectifs collectifs.
Les différents objectifs individuels s’inscrivent dans une logique collective qui est celle du plan d’action de l'organisation (business unit, service, entreprise ...).
Comme nous l'avons vu précédemment, il existe plusieurs niveaux de management et donc de pilotage au sein d’une organisation. En haut de la pyramide, l’on trouve les dirigeants qui assurent le pilotage stratégique : Les dirigeants traduisent la politique générale définie par le conseil d’administration ou les actionnaires. Ils établissent la finalité et les orientations de l'organisme. A ce titre, il convient qu'ils créent et maintiennent un environnement interne dans lequel les personnes peuvent pleinement s'impliquer dans la réalisation des objectifs de l'organisme.
Dans cette démarche d’élaboration et de déploiement de type « top-down », le top-management (les dirigeants ou membres du CODIR) confie au « middle-management » la mission « de porter la stratégie » au plus près du terrain. Dans les grandes entreprises, le « middle-management » se caractérise par une double notion de « distance » : il est proche du terrain, des opérationnels et il est éloigné du top management, des stratéges. Ces deux strates de management ont rarement l'opportunité de se rencontrer. Entre ces deux "extrêmes" de management, il existe des "managers de managers" qui sont supposés jouer un rôle de "cascading" entre le sommet et la base.
C’est aux managers de proximité qu’il revient de fixer les objectifs individuels. L’objectif individuel est la part contributive attendue par l’entreprise. L’objectif individuel est une déclinaison des objectifs collectifs.